L'histoire de vos personnages.

Vous débordez d'imagination? Alors c'est ici que ça se passe.
Votre personnage est actuellement chez Hospice Power il a atteint un beau lvl il est tout bien équipé... mais avant tout ça? Qu'a-t-il fait?
Imaginez, inventez ou tout simplement racotez-nous le début de vos aventures avant de devenir Hospicien ou Hospicienne.

Pour donner l'exemple, Bouli commence.

Il était une fois...

Le petit Bouliwouif est né le 07 novair 607 à Brakmar dans une famille aisée.
Petit cousin éloigné par alliance de Crail, célèbre féca d'Amakna, il avait tout pour réussir, et pourtant...
Sa tendre enfance fût menée de mains de démons par des parents intransigeants sur la politesse la bonne conduite et le respect d'autruis. Tous deux mettaient un point d'honneur à la bonne éducation de leur fils.
Papa Wouif était un féca trapu, court sur pattes mais un valeureux combattant. L'oeil vif (le seul qui lui restait), le coup de bâton préci et rapide comme l'éclair, plus d'un ange de la citée voisine s'était cassé les dents sur lui. Boureau de vocation, il était chargé de faire parler les prisonniers afin de découvrir enfin une faille dans les défenses de Bonta.
Maman Wouif quant-à-elle, était démone au foyer. Elle était passée maitresse dans l'art de la soupe de Mulou et la salade d'ouginak aux cawottes.
Tous deux s'étaient connus sur les bancs de la FAC (Faculté d'Aptitude aux Craqueleurs) et eurent le petit Bouli un an plus tard. Suivi de la petite Camicaze peu après.
Dissipé, turbulent, inatentif et irespectueux Bouli leur causa bien des embêtements lors de son enfance.
Tout petit déjà, dans les classes de IC1 et IC2 (Initiation aux Craqueboules) sa maitresse avait du mal à le contenir. Il n'écoutait rien et préférait largement jouer à la pâte à exploser ou avec le trukikol apprivoisé de l'école. Un de ses plaisir favori était d'ailleurs de mettre le trukikol dans le cartable à poupées de sa camarade sadidette Grearg, qui hurlait de terreur à chaque fois qu'elle l'ouvrait.
Quand il rentrait de l'école le soir il ne pouvait s'empêcher de flâner, d'atelier en atelier à la recherche d'objets mis au rebut qui pourraient lui servir pour ses 400 coups. Son atelier préféré était celui des sculpteurs de bâtons. Curieux comme un Kitsou il fouillait dans les bennes environantes pour voir si les sculpteurs n'avaient pas jeter un bâton qui pourrait lui être utile. Car, plus que tout, c'est l'aventure qui le tentait le petit Bouli. Il rêvait d'aller combattre Dark Vlad dans un duel sans merci, terrasser le craqueleur légendaire, dépouiller le Wa Wabbit...
La famille Wouif habitait dans une grande demeure tout prêt de l'arène de Brakmar, et c'est aux sons d'épées, de haches ou de bâtons que Bouli se réveillait tous les matins.
Une fois finie son initiation aux craqueboules Bouli fût admis de justesse à l'ADFFA (Apprentissage et Découverte de la Faune et de la Flore d'Amakna). C'est là qu'il fît connaissance avec plusieurs pré-ado avec qui il noua une amitié durable. L'un d'entre-eux, le plus turbulent forcément, était un jeune féca tout aussi dissipé que Bouli du nom de Thou.
Ils passèrent ensemble les deux années de l'ADFFA au grand damne de leurs professeurs. En effet, les deux compères ensembles rivalisaient d'imagination pour ce qui est de se faire remarquer. Peu présents en classe, ils préféraient courir les Landes de Sidimote pour titiller des ouginaks ou tenter de capturer un croc-gland.
Souvent Bouli rentrait tard le soir, après une journée d'école ratée, et trouvait sa soeur le nez dans ses livres, sa mère aux fourneaux et son père...le bâton à la main prêt à l'accueillir comme il se doit. Mais la dûre autorité de papa Wouif n'y faisait rien. Bouli n'eût pas son BEPC (Brevet Elémentaire des Pourfendeurs de Craqueleurs) et décida de quitter le domicile familial à 16 ans pour s'en aller de part le monde d'Amakna vivre les aventures dont il avait rêvé. Thou, lui, obtînt son BEPC avec mention "accordé par dépis" et suivi sa famille qui déménageait vers l'île des Wabbits à cause de la nouvelle affectation de son père: ingénieuw pouw le tunnel entwe l'île et le continent. Camicaze eût, elle aussi, son BEPC avec mention: "prix d'excellence". Elle s'en alla ensuite en pension à Pandala pour y suivre une formation et espérer ainsi obtenir son BAC-P (Brevet d'Aptitude aux Craqueleurs des Plaines)
Bouli vécu en solitaire durant 10 ans. Ne sachant rien faire de ses mains, il vivotait de ce que lui rapportait ses combats en récoltants sur les corps encore chauds de ses victimes, laines, cuirs...
Durant tout ce temps il s'était forgé une solide réputation de combattant et avait aidé maints aventuriers qui s'étaient retrouvés dans de périlleuses situations. Il avait fait ainsi la connaissance de Keizer un valeureux bûcheron et sculpteur de bâtons, Gouduriske une jeune fécatte alchimiste, Spix et Kastor les inséparables srams, Ngs le boulanger, Tetzuo le prêtre...
C'est alors qu'il faisait du porte à porte à Madrestam pour vendre les bâtons de son ami Keizer, qu'il reconnu un de ses ami d'enfance. Il venait de sonner à la porte de chez Thou. Le soir même on les retrouva tout deux à la taverne du Ripate à se raconter les dix ans qui s'étaient écoulés. Thou expliqua, entre deux bières du ripate, à Bouli qu'il avait obtenu son BAC-PWO (équivalent du BAC-P mais délivré par le Wa lui-même) et qu'il avait formé sa propre guide: Curse Of Divinity.
Bouli s'interressa à l'idée et inonda Thou de questions sur le but, le fonctionnement et les avantages d'être guildé. C'est ainsi que, complètement ivre, il signa (sans aucun regret) la charte de Curse. Dès le lendemain il se rendi à leur lieu de rendez-vous habituel pour faire leur connaissance (à la taverne d'Astrub). Il y rencontra tout une bande de joyeux aventuriers tous plus sympathiques les uns que les autres...Shinia, Katchoke, Droyant...
Ils passèrent une bonne partie de la nuit à fêter l'arrivée du petit nouveau lorsque, au petit matin, un membre au visage familier fît son entrée les bras chargés de pierres précieuses diverses récoltées sur des craqueleurs. Camicaze! Bouli enlaça sa soeur tout en l'assomant de questions.
Cam' avait tous ses diplomes avec mention et avait même passé deux années de spécialisation à la FAC-L de Bonta (Formation aux Aggressions de Craqueleur Légendaire).
Bonta? S'étonna Bouli. Et oui, sa soeur avait changé de camps pour suivre son coeur, elle arborait ainsi de magnifiques ailes blanches au dessus de ses épaules.
Au sein de Curse Bouli put parfaire sa maitrise des combats mais en groupe cette fois. Il découvrit les joies des donjons, des échanges équivalents et des soirées autour d'un feu de camps sur une plage de moon.
Il parcouru un bout de chemin au sein de Curse avant d'arracher des griffes d'un Corbac une drôle de pierre. Il s'en alla interroger les anciens qui lui apprirent qu'il s'agissait d'une guildalogemme. Cette pierre magique lui donnait la possibilité de créer sa propre guilde...
La suite vous la connaissez.
Hospice Power était née.

aprés l'histoire de bouliwouif voici celle de son ami ( qui a dit esclave ? ) keyzer.
cette histoire ne vient pas de moi et a été abandonné dans les ruines d'un forum que notre chef frenquentait jadis.
je ne pense pas que son auteur soit difficile a démasquer et il se reconnaitra tout de suite.
(désolé mais il fallait que je poste cette histoire sur un forum actif et qu'elle soit vu par le plus de monde possible, j'en suis nostalgique...)

Il était une fois (hum, non, comment peut-on encore oser commencer une histoire comme cela)
Il y a tres longtemps dans une galaxie lointaine... (hum, non plus, déjà pris)
Tout frêle, petit, chétif ce petit être ne paye pas de mine et pourtant...
Tout a commencé dans une sombre grotte, verdâtre de liken, suintant de tous ses orifices à l'ouest de notre noble contrée d'Amakna.
Il naquit un jeudi, ou un vendredi, peu importe...
Je disais donc il naquit un lundi, de bonne heure, au moment précis où la rosée perle sur le doux velours des roses démoniaques.
Né d'un père plus habitué à la bière de Brakmar qu'au sirop de blop et d'une mère consommant la poudre de perlipainpain à la paille, son avenir n'était pas tout tracé... Il l'appelèrent donc: KeyzerSauze. (ça veut dire tronche de craqueleur en dialecte Pandawushu)
Pourtant ce rude contexte familial lui forgea un moral d'acier hors du commun.
Son enfance fut des plus horrible, il subissait de ses voisins fécas railleries, brimades, moqueries incessantes.
Seule, la cadette de la famille, Camicaze, prenait le temps de l'écouter. Ils allaient ensembles, main dans la main, à la foire du troll, explorer les plaines de Cania, se baigner dans les marés nauséabonds.
Toute sa période pré-scolaire (les jeunes Dofusiens commencent l'école l'année de leur huitième cycles de la deuxième lune) se passa, finalement, pas trop mal.
Mais toute les bonnes choses ont une fin, le papa de la petite Cam' eu une promotion et toute la famille dût déménager sur l'île du Minotoror (il était taxidermiste de grosses bêtes pas belles))
Se retrouvant seul, il se reclua chez lui et passa toutes ses journées à étudier l'art de soigner, comme l'avait fait son père avant lui, comme tout bon sacrieur.
Il n'eu jamais l'occasion de fréquenter les grandes écoles de Brakmar ou de Bonta (le rammassage scolaire dragobus étant trop honéreux). Il fît toutes ses études dans la contrée voisine: Astrub.
Là-bas, sur les bancs de l'école il ne pu s'empêcher de se faire remarquer. Bagarreur, têtu, indiscipliné il ne perdait jamais une occasion de mettre des baffes à ses petits camarades. C'est là-bas qu'il fît la connaissance du seul élève aussi débile que lui: Katchoke.
Tous plus grands et plus forts que lui, il se prenait une dérouillée à chaque fois (surtout avec Thou le cancre de l'école)
Alors tous les soirs il s'entrainait. Ayant trouvé une hache dans l'atelier de son père, il décida de se muscler et de travailler son endurance en décimant la belle fôret d'Amakna.
En quelques années il avait coupé tellement d'arbres qu'il avait acquis une expérience innégalée dans le pays. Plus un arbre n'osait lui tenir tête, orme, bambou, charme tous se courbaient devant lui.
Cependant, malgrès ces dures années de labeur, il n'avait aucunement changé d'apparence. Il était toujours aussi petit et frêle, et était toujours la risée de ses amis.
Mais les apparences étaient trompeuses. Thou ayant été accepté dans l'université de bonta, il se tourna vers son nouvel ami: Katchoke.
Katchoke était plus grand et plus beau que lui, il faisait tomber toutes les sramettes à ses pieds, mais il était plus bête qu'un porcass des plaines!
Tous deux aimaient bien se chamailler, avec leurs autres amis Droyant, Shinia, Esus mais à tous les coups le résultat était le même. Les autres suppliaient Keyzer d'arrêter.
Car en effet, sous son frêle aspect se cachaient des bras d'acier. Et depuis le temps qu'il avait passé dans la fôret, pas une abraknyde, pas un prespic ne lui avait résisté.
Et puis les années passèrent, tous eu des aventures différentes, Keyzer fît la connaissance de Bouliwouif un jeune féca plein d'ambition et de Gouduriske une petite fécate délicieuse.
Ils créèrent ensemble, avec quelques amis, la guilde d'Hospice Power.
Keyzer se spécialisa dans un métier d'avenir pour s'installer à son compte: sculpteur de bâtons.
Son principal client étant Bouliwouif.
Mais Keyzer n'oublie pas tous les bons moments passé avec ses anciens amis et attend avec impatience de recroiser son petit Iop préféré pour lui mettre des baffes, lui piquer tout son bois et lui faire porter sa cagoule.
En mémoire de Curse qui m'a aider dans mes début et que je n'oublie pas...